• L'horreur et la tristesse me submergent depuis vendredi soir. L'hôtel de ville de Rennes est plein de bougies et d'écritaux. Les meurtriers ont voulu diviser la population, mais ils l'ont au contraire soudée.
    Je n'ai pas de mots pour décrire mes émotions, mais la meilleure des défense est de continuer à vivre. 
    "Il faut vivre" (Isabelle), "autrement mais il faut vivre" (Europe1). 
    La sécurité à 100% n'existe pas, mais si je meurs, ce sera en vivant.

     

     

     

     

     


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  • Il faut vivre. Il faut vivre autrement. 
    Sur la place, les gens ont commencé à se recueillir devant la mairie. Dans la rue, il y a du monde. Quand j'étais dans le métro, les gens étaient calmes. Un poids pesait sur tous, mais on était quand même tous là.
    À la gare, peu de monde, mais pas de militaires. La gare est tranquille et les gens continuent leur vie. Je n'ai croisé de forces de l'ordre que du côté sud. 
    Je me suis dit: "Ce soir je sortirai, j'ai pris mon billet et dans 1h je serai dans mon train."
    Si je dois mourir, ce sera en vivant.


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  • À Benoit, Gaëtan, Valentin, Ketsia, Anna, Kristin, Marc, Richard et les autres…

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  • Virginie, espérant que tu le lises un jour...

    Entourés de quatre’bâtons

    Les gamins éparpillés

    Bâtons séparés

    Mineurs libérés

    Bâtons trop serrés

    Mineurs étouffés


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  • Virginie, espérant que tu le lises un jour...

    Entourés de quatre’bâtons

    Les gamins éparpillés

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    Mineurs étouffés


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